Nouvelles paroissiales - 20 décembre 2020

18 décembre 2020

Messes de Noël à Bollène

  • Jeudi 24 Décembre
    • 18h Messe de la veille de Noël avec les familles (crèche vivante des enfants) à la Collégiale
    • 23h Messe de la Nuit à la Collégiale
  • Vendredi 25 Décembre
    • 9h Messe de l’Aurore Chapelle des Ursulines
    • 10h30 Messe du jour de Noël à Saint-Pierre

Les nouvelles mesures sanitaires qui imposent pour les messes une rangée libre entre chaque rangée pleine sont maintenues pour la période de Noël. Nous appliquons avec intelligence ces mesures.

Travaux et améliorations

Un chauffage par infrarouge a été installé à la collégiale. Nous remercions les services techniques de la ville. Ce chauffage sera donc le bienvenu pour Noël !

Grand ménage de la collégiale pour la fête de Noël samedi 19 à 9h30. Nous venons avec nos balais, nos chiffons et notre bonne humeur !

Vie de nos prêtres

L’abbé Marc a fait une chute à vélo. Il doit rester alité pendant un certain temps… Cela ne l’empêche pas de prier pour chacun. Heureusement l’abbé Blaise est là !

Vos prêtres, l’abbé Marc et l’abbé Blaise vous remercient pour tous les petits cadeaux… Les plus beaux cadeaux restent chacune de vos personnes qui forment toutes ensemble la beauté du visage du Christ à Bollène. Nous formulons les vœux les meilleurs pour tous, afin que l’année qui arrive nous permette de grandir, malgré les difficultés, dans l’amour et la sainteté du Seigneur. Beaucoup de choses ont été accomplies l’année écoulée et beaucoup seront à mettre en œuvre en 2021.

Que notre Dieu nous donne force et courage pour l’accomplir !

Se laisser régénérer à grandes « Ô »

Avec les antiennes des Vêpres qui se chantent au Magnificat dans les sept jours qui précèdent Noël, du 17 au 23 décembre, la liturgie de l’Avent atteint sa plénitude. Ces antiennes, que l’Église romaine chantait déjà avec une grande solennité au temps de Charlemagne, commencent toutes par l’interjection Ô : Ô Sagesse, Ô Adonaï et Chef de la maison d’Israël, Ô Rameau de Jessé, Ô Clé de David, Ô Soleil de justice, Ô Roi des nations, Ô Emmanuel. Ces antiennes sont une méditation chantée où l’Église exprime l’attente du Sauveur à la lumière de l’histoire du salut. Mises en relation avec les évangiles de l’enfance qui sont lus les mêmes jours, elles prennent une valeur pédagogique et catéchétique. Mais leur méditation porte sur tout le mystère de la rédemption, de la crèche à la croix : Noël ne peut pleinement se comprendre qu’à la lumière de Pâques.

L’âne et le boeuf

Ils sont absents des récits évangéliques, mais dès que les Pères de l’Église ont interprété la phrase biblique « Le bœuf connaît son propriétaire, et l’âne, la crèche de son maître » (Isaïe 1,3), assimilant le bœuf et le joug au peuple d’Israël soumis à la loi, et l’âne aux gentils, c’est-à-dire aux incirconcis. Donc, déjà par sa naissance entre le bœuf et l’âne, Jésus, comme le dit saint Paul, fait des deux un seul peuple, ne faisant qu’abattre le mur de séparation de l’inimitié. Saint François qui apprenait l’Évangile surtout à travers la liturgie et dans la tradition de l’Église, a voulu qu’en cette Nuit de Noël, en 1223, à GRECCIO, il y ait aussi le bœuf et l’âne.

Prions pour nos défunts

Yves REYNAUD.